Autres regards sur le cancer
Dans un style clair, sans jargon scientifique, le Dr Mouysset nous livre les points forts de sa thèse de médecine, qui fait un état des lieux et décrit une base pour construire une nouvelle ressource en cancérologie disponible en France : l’Accompagnement Thérapeutique.
Pour éviter de nourrir les cellules cancéreuses, et même pour essayer de les affamer, mieux vaut cesser de manger du sucre, limiter au maximum les protéines animales, manger bio, si possible des aliments complets, avec de bonnes huiles et des oléagineux...
Pour savoir associer tous les aliments de « bonne santé » et concocter de savoureux petits plats, Gabrielle Menzeluk vous propose des recettes à la fois simples et délicieuses, conçues pour deux personnes (ou deux repas) et multipliables à l’infini, pour que vous vous régaliez aussi bien en famille ou entre amis que dans l’intimité !
Le Dr Mouysset, oncologue, nous livre ici la quasi intégralité de sa thèse de médecine consacrée aux effets d’une psychothérapie de groupe particulière, de type soutien-expression. Cette thèse décrit un état des lieux et une base pour construire une véritable démarche d’Accompagnement Thérapeutique et un nouveau concept en cancérologie.
Le Centre Ressource, à Aix-en-Provence, est un lieu qui, hors du contexte médical, permet aux personnes atteintes de cancer de bénéficier de soins de mieux-être (ostéopathie, massages, réflexologie, esthétique, etc.), de participer à des activités de groupe (natation, yoga, etc.) et de suivre le programme mis en place par le Dr Mouysset pour donner à chacun un maximum de chances de guérir. Les bénéfices de cet Accompagnement Thérapeutique sont exceptionnels : 68 % de survie en plus !
Dans ce récit, Anne Matalon s’attache à traduire en mots précis, justes, poétiques et souvent drôles, les sensations qui l’ont assaillie lors de son tout premier traitement contre le cancer, en 1998. Dans le cadre d’un protocole de traitement expérimental, elle enchaîne six sessions de chimiothérapie au rythme ahurissant, traversant au plus bas du cycle des états de faiblesse extrême.
Anne vit seule. À son grand émerveillement, une petite communauté se crée spontanément pour s’occuper d’elle : famille, ami(e)s s’organisent pour la veiller quotidiennement.
Mais la bonne volonté ne fait pas tout. De même qu’il y a de bonnes et de moins bonnes façons d’aider un malvoyant à traverser la rue, il y a de bonnes et de moins bonnes façons d’accompagner quelqu’un en chimiothérapie. Il y faut de l’humilité, de la patience, de la délicatesse, de l’écoute.